Le tournoi « Tchin-Tchin », initié par le jeune homme d’affaires et ex-footballeur ivoirien, Jonathan Morisson, fait son petit bonhomme de chemin. Alors que le projet de Maracana intercommunal semble atteindre son apogée, un fait curieux vient porter un coup dur à cet événement culturel, qui a reçu l’assentiment de bon nombre d’Ivoiriens.
Le projet « Tchin-Tchin », du nom de ce tournoi de football, initié par l’ex-footballeur ivoirien, Jonathan Morisson, a du plomb dans l’aile. Ce tournoi, qui connaît un franc succès, notamment, de par les soutiens que le jeune homme d’affaires a reçus, vient, semble-t-il, de taper dans le mur.
Alors que le fameux tournoi de Maracana intercommunal continue de faire son ascension, un certain Yannick Gohourou, de nationalité ivoirienne, a intenté un procès contre l’initiateur du tournoi « Tchin-Tchin », à en croire des médias locaux, aux motifs que Jonathan Morisson a plagié le nom de son label.
En effet, selon les médias, citant le plaignant, en juin 2022, le sieur Yannick Gohourou aurait, par deux fois et par voie d’huissier, interpellé Jonathan Morisson, par rapport à cette situation déconcertante. En outre, à en croire les mêmes sources, Yannick Gohourou et sa structure, le Comité inter-urbain de Tchin-Tchin (CITT), ont interpellé l’ex-compagnon de Maria Mobil, sur l’usage abusif de la dénomination « Tchin-Tchin », qui est un label.
À cet effet, c’est en conséquence de tous ces éléments que Yannick Gohourou a porté plainte contre Jonathan Morisson, pour « plagiat ». D’après certaines sources, l’affaire est pendante devant la justice ivoirienne, bien qu’il avait été dit que le procès devrait avoir lieu, vendredi 23 septembre 2022, au palais de justice de Yopougon.
Selon la publication du 22 septembre 2022, postée sur la page Facebook « Sauvons Notre justice », Yannick Gohourou est le président du Comité inter-urbain de Tchin-Tchin (CITT), association sportive, portée sur les fonts baptismaux, le 4 septembre 2019. C’est une structure, qui est reconnue par les autorités compétentes, sous le numéro 1965/PA/SG//D1 du 8 octobre 2019, et déclarée à l’Organisation africaine de la propriété intellectuelle (OAPI).